Montpellier, Orléans, Bordeaux et tout récemment le Dijon FCO connaissent des pertes financières énormes qui mettent la survie des clubs en danger.

Cette année, la Fédération Française de Football a investi entre 10 et 12 millions d’euros dans le lancement de la LFFP et selon Jean-Michel Aulas, la ligue est en contact avec 3 ou 4 investisseurs étrangers de premier plan qui veulent investir dans le football féminin français.

Hormis l'olympique Lyonnais et le Paris Saint Germain, les budgets des clubs en première ligue Arkema est relativement modeste comparés à ceux des clubs aux États-Unis ou en Angleterre.

Les défis majeurs auxquels la ligue doit s'attaquer est la faiblesse des droits TV et l'attractivité de la première ligue Arkema. le football féminin en France n'est pas assez exposé et les clubs font face à d’énormes dépenses pour couvrir les charges relatives aux déplacements et aux salaires des joueuses. 

 

       Kossigan AGAMAKOU